ET COMME AU FOND DU LAC OBSCUR... Publié le 8 mai 2016 par christiane loubier Et comme au fond du lac obscur la pauvre pierre Des mains d'un bel enfant cruel jadis tombée : Ainsi repose au plus triste du cœur, Dans le limon dormant du souvenir, le lourd amour. Oscar Vladislas de Lubicz Milosz (1877-1939) Symphonie de septembre (Extrait)